Pas terrible ; mais presque
Juin 21
Ce n’est pas passé inaperçu ; Firefox 3 est officiellement sortis mardi dernier.
Outre toutes les qualités de cette nouvelle version, l’apparence général à été grandement améliorée par rapport à la version 2 et proposant un thème plus proche du look & feel MacOS.
Même si l’on peut saluer l’effort fournis pour que FF s’intègre mieux dans l’environnement Apple, il n’en reste pas moins que par rapport à Safari, FF est encore un cran en dessous.
Une des plus gosse faute de goût à mon avis est cet ENORME bouton de retour qui fait plus penser à un ENORME curseur de glisseur…
Du coup, la barre de navigation prend trop de place en hauteur, alors certe sur mon 23″ du bural, cela n’a pas réellement d’importance mais sur un portable c’est une autre affaire ; là le moindre pixel gagné en hauteur est fêté comme il se doit ! Alors certe en cliquant personnalisant sa barre de navigation et en cochant « petites icônes » on a quelque chose d’assez efficace dans le style ; mais là on se retrouve avec ces « boutons pillules » comme dans Mail, et personnellement je ne les aient jamais aimés. Safari avec ses boutons au coins arrondis est plus « slik » comme disent les anglais.
C’est là qu’intervient Aronnax un génial contributeur de longue date dans les thèmes dédiés au monde Mac. En effet ce dernier avais déjà sévit pour la version 2 de FF en se fendant d’un thème très proche de Safari. He, bien le garnement à remis ça pour la version 3 en mettant à jour ses fameux thèmes, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont réussit !
J’ai craqué pour le thème Yummy blue (Ho Yummy, ho yummy yummy blue, ho yummy blue…) ; bon ok, je ->
Avec ce thème, on vraiment l’impression d’avoir une appli Mac.
Pendant que j’y suis à parler de FF, il faut noter aussi que la barre web-developper fonctionne avec la version 3 sous réserve de faire la mise à jour, et que pour l’excellentissime Firebug, il suffit de l’installer pour l’avoir avec le panda rouge 3e du nom.
Juin 17
Je suis juste un peu charrette en ce moment, d’où mon silence…